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Articles

Affichage des articles du 2015

Considérations sociologiques d'une société évoluant vers un système de castes

Suivant le principe d’une contenance cyclique de l’histoire, d’une somme de solutions testées par l’ensemble d’une société, dans le but d’assurer la pérennité de civilisations dont le principe même est de survivre, que ce soit sous le regard posé de la sélection naturelle, d’un combat incessant entre forts et faibles, dominants et dominés ou, vers une vision plus utopique et idéaliste d’une société mondiale, arrivée à maturité et ayant été en mesure de constituer un gouvernement global, gérant la vie de leurs concitoyens sans pour autant, puisque nous ne restons que des hommes, arriver à une prise de conscience générale, mondiale et instantanée, que ce soit au niveau des politiques ou de la masse médias, de la clairvoyance de l’état même de l’évolution contemporaine et immédiate de cette civilisation de l’instant, qui, certes, serait sans doute enrichissante puisqu’étant entièrement contrôlable au niveau des faits mais qui, de toutes évidences, semble impossible à mettre en place au v

Mamy fait du porno!

Exhibées sur la toile, mile femmes se donnent sans oser penser que la société n’a toujours fait qu’évoluer, que d’une culotte de la taille d’un pantalon dont elles étaient vêtues dans les années cinquante, il ne reste qu’une ficelle qu’elles ne portent plus que les jours où elles sont réglées, mais qui du haut de leurs ignorances ne sont pas au fait de la contenance cyclique de l’histoire, que de ce corps dénudé, d’ici cinquante ans, nous serons tous de voiles et de tuniques accoutrés.   Il n’en reste pas moins, que de cette pratique sexuelle, à exhiber ses organes, façon de penser que taille d’un bonnet équivaut forcément à l’émerveillement de leurs personnalités, elles s’en retrouveront un jour face à leurs petits enfants, que de cette vidéo porno faite dans les années 2000, tournée à une époque où la maturité ne les épaulait pas, elles ne pourront que se justifier pendant mile ans face à cette génération grandissante leur demandant du haut de leur crédulité : « mamy, c’est papy

Lettre à moi même

Tu craches ta haine, sale rengaine. Trop de potentiel que pour oser sortir au grand jour ? Trop de risques à se montrer ? Tu fais comme tous, planquer. Génération perdue face à une horde de fossiles, refusant de trépasser comme pour se donner une seconde chance de voir le Père Noel rentrer par leurs cheminées ? T’as fait l’unif, ton père était ouvrier, il savait poser des briques, chose que tu es incapable de faire mais rassure toi, au moins, tu sais de quoi elles sont constituées. Réveille toi taré, ça ne te fera pas bouffer, fais comme moi, reste dans l’ombre, attends que le destin les ramènent à l’hécatombe ; les vieux sales, puant, refusant de rentrer dans la baignoire comme de leurs odeurs, ils pensent que quelque chose d’eux va rester. Tu comprends toujours pas, je vais te l’expliquer sans poésie : tu vas passer soixante ans à produire, à amasser, à tenter de rembourser un emprunt que tu auras été obligé de contracter puis, tu seras pensionné, il te restera alors vingt