Exhibées sur la toile, mile femmes se donnent sans oser penser que la
société n’a toujours fait qu’évoluer, que d’une culotte de la taille d’un
pantalon dont elles étaient vêtues dans les années cinquante, il ne reste
qu’une ficelle qu’elles ne portent plus que les jours où elles sont réglées,
mais qui du haut de leurs ignorances ne sont pas au fait de la contenance
cyclique de l’histoire, que de ce corps dénudé, d’ici cinquante ans, nous
serons tous de voiles et de tuniques accoutrés.
Il n’en reste pas moins, que de cette pratique sexuelle, à exhiber ses
organes, façon de penser que taille d’un bonnet équivaut forcément à
l’émerveillement de leurs personnalités, elles s’en retrouveront un jour face à
leurs petits enfants, que de cette vidéo porno faite dans les années 2000,
tournée à une époque où la maturité ne les épaulait pas, elles ne pourront que
se justifier pendant mile ans face à cette génération grandissante leur
demandant du haut de leur crédulité : « mamy, c’est papy le
monsieur ? » mais, dans ce malheur, il n’y a pas que de la véhémence,
elles auront au moins la possibilité de ne plus devoir leurs expliquer comment on
fait les bébés.
Restera toutefois le problème des MST, que de tous ces hommes qui du haut de leurs conditions se protègent pour les pénétrer, sans prendre de risque pour ne pas se faire contaminer, retireront leurs préservatifs pour dans leurs faces éjaculer, tout en ayant conscience que de tout ce sperme avalé, du papilloma virus, elles finiront par trépasser.
La société est si belle que j’en ai
presque envie d’aimer.
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