Il n’y a pas plus de folie, qu’une somme d’idées fixes devenues perpétuelles, se répétant inlassablement comme un cœur qui veut battre, mais ne pouvant se gorger du désir d’avancer.
Ces hommes fonctionnent dans une sorte
de circuit fermé, dont-ils cachent si habilement l’entrée que plus d’un
médecin se fera duper. Parsemant leurs pensées les plus chères au milieu
d’un discours de « tarés » : ils ne peuvent se résumer à cette
brindille, que nous nommons la forêt.
On regarde bien souvent le « fou » à la manière d’une proie tombée. Ecartelée sous les feux normatifs d’une société sans pitié. On fait de leurs cas de démences, une sorte de palliatif justifiant la normalité, là où de toutes évidences, le « dingue » ne pourra être que jugé.
A vrai dire, il me semble en simple homme de science, que le « fou » n’est jamais celui qu’on désire condamner. Darwin ou pas, il est force de constater, que la brebis est humaine et que le malade est berger.
De nos jours, l’homme vit dans une sorte de mouvement continuel, dont il ne peut s’extirper tant il est prisonnier. Il nous faut bien l’admettre, nous avons si souvent peur de penser, que tout cela pourrait changer au travers d’un simple souhait. Nous préférons accumuler des biens à la manière d’un troupeau, guidés par des malades qui veulent avant tout notre peau.
Une fois que nous nous sentons accablés par ces choses et notre crédulité, nous nous délestons dans un vote qui nous sera conseillé. La mécanique se poursuit de gauche à droite, sans une remise en questions, de cette folie sociétaire qui nous nommons déraison.
Il arrivera enfin ce moment tant attendu, où la Mère Nature nous mettra tous nus. Sans échiquier pour nous permettre de continuer, l’évolution s’arrêtera au sommet de notre bonté. Vous pouvez croire en Dieu, Alla ou ce mal incarné, j’aime les hommes qui comprennent que le fou est rarement le plus insensé.
On regarde bien souvent le « fou » à la manière d’une proie tombée. Ecartelée sous les feux normatifs d’une société sans pitié. On fait de leurs cas de démences, une sorte de palliatif justifiant la normalité, là où de toutes évidences, le « dingue » ne pourra être que jugé.
A vrai dire, il me semble en simple homme de science, que le « fou » n’est jamais celui qu’on désire condamner. Darwin ou pas, il est force de constater, que la brebis est humaine et que le malade est berger.
De nos jours, l’homme vit dans une sorte de mouvement continuel, dont il ne peut s’extirper tant il est prisonnier. Il nous faut bien l’admettre, nous avons si souvent peur de penser, que tout cela pourrait changer au travers d’un simple souhait. Nous préférons accumuler des biens à la manière d’un troupeau, guidés par des malades qui veulent avant tout notre peau.
Une fois que nous nous sentons accablés par ces choses et notre crédulité, nous nous délestons dans un vote qui nous sera conseillé. La mécanique se poursuit de gauche à droite, sans une remise en questions, de cette folie sociétaire qui nous nommons déraison.
Il arrivera enfin ce moment tant attendu, où la Mère Nature nous mettra tous nus. Sans échiquier pour nous permettre de continuer, l’évolution s’arrêtera au sommet de notre bonté. Vous pouvez croire en Dieu, Alla ou ce mal incarné, j’aime les hommes qui comprennent que le fou est rarement le plus insensé.
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