Accéder au contenu principal

comment trouver un bon film?

Je pense qu'il est relativement simple de répondre à cette question quand on n'est pas trop jeune, et que l'on a déjà surfer un peu sur le web.

Si vous faites une recherche dans google sur, par exemple: "les meilleurs films de SF", "les meilleurs films d'horreur", etc. Il y a de fortes chances pour qu'en belgique, vous soyez redirigé via google vers les trois sites suivant: Vokdaster, IMDB est Sens critique.

Sans vouloir pousser le raisonnement trop loin et, puisque nous ne cherchons que de bons films à voir, je pense fermement que pour la majorité des personnes qui n'ont pas une grande, grande culture en cinéma, la liste des 250 plus grands films de tous les temps par le site IMDB, sera déjà un bon point de départ.

Au travers de cette liste de 250 films, vous trouverez la majeure partie des films "grand public" qui ont fait l'histoire du cinéma.



Il est à noter que, quand IMBD était un site qui comptait moins de visiteurs, sans doute vers 2009 ou 2010, il y avait une majeure partie de films des années soixante, septante et quatre-vingt, dans la liste des 250 meilleurs films mais, par un effet statistique, plus le nombre d'adhérents à ce site a augmenté, plus le "genre" de bons films compris dans la liste IMDB, s'est rapproché d'une vision moins élitiste du cinéma où, à présent, chacun peu s'y retrouver.

De plus, pour ceux qui auraient déjà vu ces 250 films, je rappelle que le fonctionnement du site IMDB est simple: il vous propose une série de films que vous avez vu ou non, vous cochez ceux que vous connaissez et, ensuite, le site IMDB pour proposera une suite de films qui devraient correspondre à vos goûts en fonction des films que vous avez "like" précédemment. Bien évidemment, pour pouvoir utiliser cette option, vous devez ouvrir un compte sur le dit site.



Nous pouvons dire sans nous trompez qu'un film qui est vraiment à voir parmi les suggestions que propose IMDB sont tous les films qui ont une cote supérieure à 7/10.

Bon visio.

Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

Une femme c'est forcément ça!

Dévorante d’une beauté insolente, jugée et assassinée bien avant l'heure et sans en avoir eut le choix... La jeune femme sera la victime corolaire de l'autre, la laide, la sale, la puante, la bestiale, la "pute" pour le dire platement.  Celle qui arpente les rues et qui fait usage de ses charmes  comme on vend son âme au Diable, semble faire autant de mal aux autres femmes, qu'elle ne s'en inflige à elle-même. Et pourtant, qu'elle est le ou la vraie coupable dans toute cette histoire?  La belle enfant payera p our toutes celles qualifiées de "catin" - qu'elles soient réelles ou numériques - par des hommes bêtes, muni d'un QI leurs permettant à peine de mouvoir leurs cerveaux coincés entre leurs jambes mais, tout à fait à même d'arriver à leur fin en matière de sexe puisqu'il s'agit là de l'unique but qu'ils se seront donnés en  cette heure tardive, à la sortie d'un bar après n'avoir trouvé aucun "remè

Olivier, cet unique soldat

Beaucoup pensent que je t’ai oublié, beaucoup pensent que je t’ai laissé tomber. A tous ceux là, je tiens à dire en mon âme et conscience, que je n’ai scié aucune branche sur l’autel de notre amitié. Bien au contraire, mon idolâtre ensanglanté, sache qu’aucune brindille ne pourra jamais venir entacher ce jardin anglais que j’ai bâti sur les liens qui nous unissaient. Que Dieu m’en soit témoin, tu resteras à tout jamais l’étincelle illuminant la voix de mon silence le plus triste et le plus profond ; celui que m’offre à présent, le linceul de nos souvenirs meurtris par la chute de l’enfant rebelle. Alors, que les hommes parlent comme ils le font toujours. Qu’ils vocifèrent comme souffle le vent ou qu’ils se contentent de ramper en simple vipère. Que m’importe ; cela ne te rendra pas la faculté de tes sens endoloris ; toi, mon antre, mon ami, ma souffrance alitée sur des draps aussi sales que ne l’est cette science médicale, désirant prolonger la vie sans même en connaître le prix. J

Je l'aimais

Mécréante à pourfendre l’infamie du désir d’aimer, elle m’a brisé comme l’araignée tisse sa toile. Je n’en ai gardé que la souffrance de mes membres écartelés aux quatre coins de son garde manger. Souffrant d’un corps ne pouvant même plus saigner, il ne me resta que mes yeux pour pleurer, derrière cette femme que j’ai tant désiré et qui m’aura vu sombrer sous les feux prononcés de cet innommable verbe aimer ; depuis, je n’ai plus jamais conjugué.   Je me sentais trop déchiré par toutes ces années passées à ses côtés, à courir derrière elle comme tous ces hommes qui la poursuivent et qui jamais ne sauront la regarder. A ouvrir les yeux sur cette vérité cruelle, ce n’était pas moi, je faisais juste partie d’un plan prédestiné, à devoir combler quelques mois qu’elle m’aura laissé passer à ses côtés, pour mieux me jeter au profit d’un homme qui d’une voiture de luxe saura la combler.   J’en garde le souvenir amer de mile putes tirées, comme   pour oublier que de mon ve